HISTOIRE CHAPELLE DE SAINT TRONC – Œuvre enfance délaissée

Merci au collectif Saint Maurice Pont de Vivaux pour la photo

LES DONATEURS

Dans les années trente,  la Maison de l’enfance malheureuse de saint Tronc accueillait déjà 80 enfants.

Depuis de nombreuses années déjà , les offices religieux avaient lieu dans une ancienne serre de l’ancienne propriété agricole du Val des pins 

Le lieu trop chaud l’été et glacial l’hiver ne convenait plus, il fallait trouver une autre solution.

Lorsque que le père Émile Alliaud arriva à Saint-Tronc il découvrit une modeste chapelle qui ne me permettait pas de prier dans des bonnes conditions, il nourrit donc de vastes projets. La bonne volonté ne suffisait plus pour évoluer, il fallait trouver de nouvelles ressources et des donateurs.

Une rencontre allait faciliter l’organisation du projet 

Le père émile Alliaud allait pouvoir bénéficier des bonnes grâces de la baronne double de Saint-Lambert ( grand mère de Lilly Pastré )

Plusieurs familles donatrices participèrent à l’entreprise et ce généreux mécénat autorisa l’inauguration d’une nouvelle chapelle en 1933. 

La caisse d’Épargne assura la médiation bancaire vers les maîtres d’oeuvre

Le père Émile Alliaud, successeur de l’abbé Fouque directeur de l’oeuvre et coordinateur du projet pour l’évêché eut l’idée de proposer aux bienfaiteurs de dédier un vitrail a un donateur ou d’un être qui lui fut cher ..

Le père Alliaud eut également la délicate attention de proposer à la baronne Double de Saint-Lambert ( mère de lily Pastré ) de dédier la chapelle à Saint-Maurice en hommage a son petit fils, mort zu cours de la bataille de la Somme le 8 septembre 1916.

A suivre

Source : Le père Émile Alliaud, Abbé Roux. éditions Publiroc, 1938

Par Rémy Alacchi – Tous droits réservés – 30 avril 2025

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